• À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir.

     A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.

      et le mois est déjà fini.

     et l'année est presque écoulée.

      et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.

     et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.

     et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière ...

     Alors... Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste...

     N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent...

     Mettons de la couleur dans notre grisaille...

     Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.

     Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste. Essayons d'éliminer les "après" ...

     je le fais après ...

     je dirai après ...

     J'y penserai après ...

     On laisse tout pour plus tard comme si "après" était à nous.

     Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :

     après, le café se refroidit ...

     après, les priorités changent ...

     après, le charme est rompu ...

     après, la santé passe ...

     après, les enfants grandissent ...

     après, les parents vieillissent ...

    après, les promesses sont oubliées ...

     après, le jour devient la nuit ...

     après, la vie se termine ...

     Et après c’est souvent trop tard....

     Alors... Ne laissons rien pour plus tard...

     Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,

     les meilleures expériences,

     les meilleurs amis,

     la meilleure famille...

     Le jour est aujourd'hui... L'instant est maintenant...

     Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.                    

                                                           Florence  Schaal

     

     A plus tard

     


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  • Cadeau surprise  pour une de mes petite fille qui a perdu son autre Mamie côté maternelle

    De Matinéedeprintemps une amie blogueuse qui fait tout de ses mains .

    MERCI A TOI .

     

    VoiciVoici



     

    Voici


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  • Ces grandes épidémie qui ont marqué l'histoire de l'humanité .Correspondance, Gautier DEMOUVEAUX

    Ces grandes épidémie

    La pandémie de Covid-19, apparue fin décembre en Chine, a déjà contaminé plus de 180 000 personnes dans le monde, faisant plus de 7 000 morts. Cette nouvelle épidémie mondiale est loin d’être la première et la plus meurtrière dans l’histoire de l’humanité…

    Dès l’Antiquité, les hommes ont dû affronter des maladies virales mortelles, qui marquèrent des civilisations au point parfois de les faire vaciller, ou en tout cas d’imprégner leur histoire et leur culture. Comme aujourd’hui, les premières grandes pandémies mondiales sont liées à l’essor des échanges commerciaux entre États, entraînant un contact fort entre les populations.

     La peste d’Athènes

    Nous sommes au Ve siècle avant Jésus-Christ. La civilisation grecque est en pleine expansion sur le pourtour méditerranéen, dominée par la cité d’Athènes.

     Entre -430 et -426, une étrange maladie, alors inconnue, touche le berceau de la démocratie, emportant un tiers de la population, qui comptait alors environ 200 000 personnes. Ce mal, baptisé « peste d’Athènes » (illustration en tête d'article) – il s’agirait de la fièvre typhoïde, caractérisée par une forte fièvre prolongée et des diarrhées importantes – viendrait d’Afrique, elle serait apparue d’abord en Éthiopie avant de remonter vers l’Égypte et la Libye.

    Elle fait son apparition dans la cité grecque au moment du siège de la ville par Sparte, lors de la guerre du Péloponnèse. Décrite et racontée à travers les écrits de l’historien Thucydide, lui-même touché par la maladie, on apprend que cette dernière fut fatale à l’un des héros de la cité antique, le célèbre Périclès, stratège militaire et homme d’État. Ce fléau marquera le début du déclin de l’âge d’or athénien.

    La peste antonine

    Au cours des siècles suivants, plusieurs vagues de peste touchent les Empires grec et romain. Mais la peste Antonine, qui survient à la fin du IIe siècle, reste dans les annales.

     Cette première pandémie – vraisemblablement de variole (fièvre hémorragique) – qui touche l’ensemble de l’Empire romain va entraîner la mort de près de 10 millions de personnes entre 166 et 189, soit 10 à 30 % de la population.

     Ce fléau tient son nom de la dynastie des Antonins, dont sont issus les empereurs Marc-Aurèle et Commode, qui règnent lors de l’apparition de la maladie. Il serait apparu en Mésopotamie avant de gagner Rome en moins d’un an. C’est la première épidémie documentée par des médecins, au premier rang desquels Galien.

    Ces grandes épidémie

    La peste de Justinien

    Cette fois-ci, la pandémie prend le nom de Justinien, empereur romain d’Orient, qui régnait à cette époque. La maladie tue environ 25 millions de personnes à travers le monde et particulièrement autour du bassin méditerranéen.

     Les auteurs de l’époque racontent que cette épidémie de peste bubonique – la première véritablement liée à la bactérie Yersinia Pestis – aurait débuté en Égypte en 541 avant de se répandre en suivant les routes commerciales terrestres et maritimes : depuis Alexandrie via Damas puis Constantinople où elle fait, d’après l’historien byzantin Procope de Césarée, plus de 10 000 morts par jour. Les auteurs modernes penchent pour une origine asiatique depuis l’Inde et la Perse via la route de la soie.

     

    La maladie (inflammation des ganglions – les bubons – entraînant fièvre, douleurs musculaires et articulaires, maux de tête et fatigue importante) remonte ensuite le long de la péninsule italienne avant de dévaster Rome. L’Hexagone n’est pas épargné, la peste débarquant à Marseille via un navire contaminé arrivant d’Espagne en 543.

    L’évêque et historien Grégoire de Tours évoque dans son Histoire des Francs cette « épidémie incendiaire » qui frappe à plusieurs reprises la cité phocéenne, avant d’atteindre Clermont-Ferrand, Paris et la vallée du Rhin.

    Elle reviendra régulièrement sur les rives françaises de la Méditerranée et le long du Rhône, tous les neuf à treize ans, avant de disparaître sans raison apparente.

    La peste noire

    Alors que la peste de Justinien marque le début du déclin de l’Empire romain d’Orient, la peste noire va donner un coup fatal à l’Empire byzantin, qui disparaîtra moins d’un siècle après ce fléau.

     Cette nouvelle pandémie marque la mémoire collective des populations occidentales. Et pour cause, cette nouvelle vague de peste bubonique aurait fait plus de 75 millions de morts dans le monde, dont plus de 25 millions d’Européens entre 1347 et 1352, soit près de 40 % de la population du continent. L’épidémie de la grande peste aurait débuté en Asie, avant d’être disséminée par les cavaliers mongols jusqu’à la mer Noire.

     En 1346, le chef Mongol Djanisberg assiège le comptoir génois de Caffa en Crimée, mais son armée est décimée par cette infection bubonique. Contraint de lever le siège par manque d’effectifs, il décide de faire catapulter les cadavres des malades dans la forteresse, inaugurant ainsi la guerre bactériologique.

     Les Génois reprennent leur commerce et répandent l’infection sur le pourtour méditerranéen au fil de leurs escales : Constantinople, Messine, Gênes, Venise ou encore Marseille. De là, la maladie gagne Avignon en janvier 1348, Paris en juin, et l’Europe entière en 1351.

    La mortalité fut effroyable, touchant toutes les classes de la société, les villes et les campagnes, rayant de la carte des villages entiers. Après avoir sévi six ans dans l’Europe médiévale, elle réapparaîtra régulièrement au cours des siècles suivants, sans pour autant avoir les mêmes proportions.

    Ces grandes épidémie

    Le choléra

    Apparu en Inde, le choléra (une infection intestinale aiguë provoquée par des bactéries présentes dans les eaux sales et stagnantes) commence à faire des ravages vers 1826. La maladie se propage à la Russie en 1830, puis à l’Europe de l’Est pour atteindre Berlin un an plus tard et l’Europe occidentale l’année suivante.

    Ce mal inconnu et meurtrier entraîne la psychose des populations, de nombreuses émeutes éclatent un peu partout sur le continent à cause de la panique. En France, le premier cas de choléra est détecté le 26 mars 1832 à Paris. On en dénombrera 18 500 décès dans la capitale à cause de la maladie, et plus de 100 000 morts dans l’Hexagone en moins de six mois. Notre pays est l’un des plus touchés par ce fléau, qui atteint les îles britanniques puis l’Amérique du Nord, importé par les immigrés irlandais.

    Depuis, le choléra reviendra épisodiquement sur la planète, touchant principalement les populations défavorisées ou victimes de catastrophes sanitaires, comme après le tremblement de terre en Haïti en 2010. D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie entraîne chaque année environ 100 000 décès pour 4 millions de cas recensés.

    Ces grandes épidémie

    La grippe espagnole

    La grippe espagnole est sans doute la pandémie la plus virulente de l’histoire de l’humanité. Elle aurait touché entre 1917 et 1919 près d’un tiers de la population mondiale, sur tous les continents, entraînant la mort de 50 à 100 millions de victimes. De quoi marquer les esprits, au même titre que la peste noire.

    Bien que qualifiée d’espagnole, cette grippe (entraînant une surinfection bactérienne) n’est pas originaire de la péninsule ibérique. Vraisemblablement apparue du côté de Boston, elle aurait été importée par les soldats américains arrivant sur le front occidental, avant de se répandre sur les champs de bataille d’Europe puis dans les colonies d’Afrique et d’Asie.

    Parmi les victimes célèbres de la terrible maladie, le président américain Woodrow Wilson, les auteurs français Guillaume Apollinaire et Edmond Rostand, l’artiste autrichien Egon Schiele ou encore l’économiste et sociologue allemand Max Weber

    Ces grandes épidémie

    Les grippes asiatiques

    En février 1957, un nouveau virus grippal (H2N2) apparaît dans une province méridionale de la Chine, avant de se propager au Japon et en Asie, avant d’atteindre l’Amérique et l’Europe. Cette pandémie de grippe asiatique, qui a frappé en deux vagues virulentes, est à l’origine de la mort d’environ quatre millions de personnes.

    Dix ans plus tard, la souche de cette grippe a évolué, provoquant une nouvelle pandémie meurtrière : la grippe de Hong Kong. Le virus H3N2 se déclare sur la péninsule chinoise et infecte un demi-million de personnes, soit 15 % de la population, avant de se propager en Asie puis toucher les États-Unis fin 1968 et l’Europe à l’automne suivant, tuant plus d’un million de personnes dans le monde.

    Considérée comme la première pandémie de l’ère moderne, accélérée par la multiplication des voyages en avion, la maladie entraîne une forte mobilisation internationale, coordonnée par l’OMS. Dès novembre 1968, des vaccins efficaces sont mis au point.

    Les grippes asiatique et de Hong-Kong, qui touchent le monde dans les années 1950 à 1970, se propagent encore plus rapidement que les pandémies précédentes, à cause notamment du développement des transports aériens. Ici, en 1957, une vue d’un hôpital suédois lors de l’épidémie de grippe asiatique. (Photo : Wikimédia)

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    Le sida

    Avec ses 3 millions de morts annuels, le sida (syndrome d’immunodéficience acquise) est une pandémie mondiale silencieuse, qui a déjà tué plus de 36 millions de personnes. Le VIH est, selon l’OMS, l’une des maladies infectieuses « les plus complexes, les plus éprouvantes et sans doute les plus dévastatrices » que l’humanité ait eue à combattre.

    Apparue en République démocratique du Congo à la fin des années 1920, elle apparaît aux yeux du grand public en 1981 aux États-Unis. On ne parle pas encore de sida pour décrire cette infection inexpliquée, mais plutôt de « gay syndrome », car elle est initialement identifiée chez des homosexuels.

    Le virus VIH1 est découvert le 20 mai 1983 par l’équipe de l’unité d’oncologie virale de l’Institut Pasteur, dirigée par le professeur Luc Montagnier. Malgré les efforts de prévention investis et l’efficacité des traitements, 1,8 million de personnes découvrent chaque année qu’elles sont contaminées. Et viennent ainsi grossir les rangs des millions de porteurs du virus.

    Aujourd’hui, l’usage du préservatif est le seul bouclier contre cette maladie pour laquelle aucun vaccin n’a encore été trouvé.

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  • Ma mère est née en 1929. Elle a connu la Seconde Guerre mondiale, le droit de vote pour les femmes, les Trente Glorieuses,  le mariage pour tous,elle a su s’adapter à toutes les époques et tous les changements, avec bonheur et optimisme, curiosité et tolérance (mais pas toujours )elle est chez nous en ce moment ,
    j’ai tout le temps peur que ma mère de 91 ans tombe et se blesse, donc je pars souvent sans elle; en faite je n'ai pas du tout envie de la traîner avec moi  , mais dans une famille, nous sommes censés prendre soin les uns des autres, surtout des plus vulnérables",ça dépendrais de moi elle serait directement en maison de retraite ,on verra fin Décembre pour la réponse  de l'assistante sociale .Elle me parle beaucoup de passé, c'est dingue j'étais la ,je connais ces histoires par cœur .J'aimerais  tellement que nous parlions d'autre choses  par exemple de nous de notre relation ,mais a chaque fois ça tourne au vinaigre  ,elle ne changera jamais jusqu'au bout de sa vie elle veut avoir raison .Bien sur elle s'agrippe à moi, puisque mes sœurs,  " Helga"  est repartie à la réunion  en vacances ou pour toujours, aucune idée ,l'autre 'Tina ' pas de nouvelle depuis que je lui est dis que notre  mère était au urgence ,et ma traité de menteuse  il y a quelques semaine  car elle avait téléphoner soit disant a son médecin traitant   qui lui a répondu  qu'elle n'avait pas mise notre mère à l'Hôpital ,mais  ses excusé  quand je lui est envoyer par SMS la notification urgente avec le nom  de notre mère et l'adresse  du C H D  je lui avait dis, quand il y a une urgence  j'appelle le SAMU et non le médecin .Ce matin j'ai pété les plombs, ma mère descend dans tous ses état et me traite de menteuse aussi ,(mince alors moi qui avais une vie tranquille sans histoire ,donc elle me disait les autres qui sont en haut m'ont dis  que je ne dois pas resté chez des étranger que ce n'était pas bien ,donc je lui demande qui je suis moi ,elle me répond  tu es ma fille  et elle ri ,je lui demande qui est la haut, ' les autres "( des fantômes"une façon de dire les choses bien sur ) sa crise passé ,elle ne se rappelle plus de rien ,mais voilà , elle a fichue en l'air ma gaieté .(Je la déteste  pour ça ) un de mes fils était la et me dit maman calme toi c'est normal qu'elle soit comme ça  vu son age .AH AH mais malheureusement elle la toujours été  comme sa  c'est pire aujourd'hui .

    Je devrais faire un livre pour me détendre . RIRE...............

     

     

     


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  • Ce Jeudi

    Ce Jeudi

    Ce Jeudi


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  • Devinée qui a appeler ce midi ,et bien une de mes sœur me demandant si notre mère était chez moi ,pas un bonjour ,mème pas demander si tout va bien chez nous a cause de l'épidémie .elle m'a juste dit qu'elle était  repartie à la réunion avec son mari ,je lui es dis je te passe maman elle me répondit NON ,c'est à toi que je veux parlé ,pour me dire qu'il fallait mettre notre mère en maison de retraite  car elle avait la maladie Alzheimer ,je lui es dis que NON ,juste qu'elle pensait beaucoup à son passé ,en plus où elle va chercher ça, hein elle vient la voir tous les dix ans .Mais comme  je n'ai pas eu envie de continué  à lui parler j'ai donner mon portable a notre mère .OH ,mes deux sœurs  et notre mère  savent a qui elles ont affaire,elles savent comment  je suis ,elles compte sur moi ,elles n'ont pas de cœur ce sont des hypocrites ,on sait très bien pourquoi ce coup de tél,mais bon ..

    Hier

     Hier


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  •                            Concours   de dessins le bonhomme de pain d'épice  de ma petite fille "Hanna "

                                                                                  "Haut de France "

     

     

    Un peu de tout

     

     


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  •  "chouquettes" pour une centaine de pièces:

    -125ml d'eau-

    -125ml de lait 

    -5 œufs 
    -140g de farine
    -110g de beurre
    -5g de sel
    -sucre grain .
     
    Préchauffer le four à 200°C
    Dans une casserole  mettre de l'eau,le lait ,le beurre ,le sel 
    Porter à ébullition 
    Ajouter la farine d'un coup  hors du feu
       Bien mélanger même assez vivement puis remettre sur feu doux pendant 1 minute afin d'assécher la pâte. Il faut mélanger constamment. La pâte va se détacher du fond de la casserole.
    ensuite mettre un œuf  battu à la fois mélanger énergiquement
    Les chouquettes

    Les chouquettes

    ensuite avec une cuillère à café  faire des petits tas  sur une plaque  à pâtisserie et papier sulfuré Parsemer de sucre grain le dessus de chaque chouquette .

     Cuire à 200 degré pendant 20 à 25 minutes  en surveillant
    Déguster de suite à la sortie du four .
    Mais comme j'étais occupé à tout nettoyer j'ai presque oublié donc juste un peu trop cuite , mais tellement bon .
    dès que j'ai de la visite je mets  de la glace à la vanille dedans  et du chocolat fondu  au dessus ,un jour mon beau fils  en les voyant il a fait hummm il en a prit deux d'un coup la surprise c'est que la glace est froide  j'ai bien rie .

    Les chouquettes

     
    Les chouquettes

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