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    Vu sur overblog  "Ethnopolis"

     

    Avant 1830 ,Au début du 19ème siècle, l’Algérie était parmi les états les plus civilisés de l’empire ottoman, le taux d’analphabétisme était plus bas qu’en France seulement 5% d'analphabétisme estimé par les français ,L'Algérien, en 1830, savait lire et écrire. Après un demi-siècle de colonisation, il croupit dans l'ignorance l'augmentation de l'analphabétisme est de 92,2% (3,8% seulement savent lire). La culture algérienne est riche, variée et très ancienne, chaque région, chaque ville ou oasis constitue un espace culturel particulier. La Kabylie, les Aurès, l'Algérois, les Hauts plateaux, la vallée du Mzab, le Gourara, le Hoggar, la Saoura, l'Oranie sont chacune des région avec des particularités culturelles et parfois linguistiques. Ce beau mélange a donné naissance a une Magnifique Rose qui est : " El Djazaïr " " L'Algérie ". La façon de s’habiller a de tout temps constitué le reflet des sociétés. de même que les étapes de leur évolution dans le temps.Le costume,son dessin ,sa texture ou bien ses étoffes nous racontent l'histoire et coutumes des peuples,le costume prend une forme sans cesse renouvelée pour suivre les hommes dans leur histoire ;Le costume suivra ainsi des vagues civilisatrices qui défieront le temps et ses outrages. En Algérie, le costume suivra tout naturellement les différentes étapes vécues au travers des différentes invasions dont l’Afrique du Nord a fait l’objet.Ce qui d’ailleurs n’a pas manqué d’introduire de nouveaux indices civilisationnels en architecture et en art ,de la main mise des romains jusqu’à l’autorité turque en passant par les phéniciens. l’andalousie ou la civilisation musulmane. le costume a toujours suivi ces étapes,l’Algérie a souvent subi des influences dues aux différents passages des peuples étrangers. ce qui n’a pas empêché le costume algérien d’avoir des particularités stylistiques propres à chaque région de ces vastes terres.Il demeure évident que pour tout esprit observateur les atours qui habillaient les corps seront révélateurs d’expressions ethniques et historiques qui ont gardé leur originalité encore prouvée de nos jours par un étonnant souci du détail vestimentaire, en particulier en ce qui concerne le costume féminin qui a su garder fraîcheur et délicatesse d’exécution que le doigté des dames ne démentira jamais. Au 16ème siècle, Alger éclate drichesse, elle est l'une des plus riches villes de Méditerranée. On y dénombre 850 000 habitants au 17ème siècle (contre 10 000 en 1830) : elle "dépasse alors Palerme, Rome, Marseille ou Venise". Mais l'absence de famille royale, sous les Ottomans, fait qu'il n'y avait pas de richesse tapageuse Un luxe discret ,le costume traditionnel d’Alger est une illustration pointilleuse de la vie des femmes au XVIIème et au XVIlIème siècles.La femme algéroise portait une longue et large chemise sans col. Une autre chemise était mise dessus avec des ornementations de rubans galonnés de différentes couleurs. Cette chemise s’est en fait écourtée avec le temps. en acquérant des manches très larges auxquelles s’ajoutent des rubans soyeux dentelés. Cette chemisette est nommée g’nidra (petite gandoura). En plus de la g’nidra, la gent féminine portait un ample pantalon de toile blanche descendant jusqu’aux chevilles sur lequel tombait la ghlila , une longue veste en satin ou en velours qui tombe à mi-jambe avec des

    manches sans coudes et un col prolongé jusqu’en dessous de la poitrine décoré de boutons d’or ou d’argent.L’algéroise se chaussait de babouches en velours richement brodées d’or,La tête était coiffée d’un foulard multicolore appelé maharma ,cet habit qui a des siècles d'existence à su s'enrichir d'influence diverses. Il exprime parfaitement le raffinement des sublimes algériens,Le karakou Homme ,est composé d'une veste brodée de fils d'or réalisée par des orfèvres de l'artisanat. La réalisation d'un karakou qui est une pièce unique peut duré une année entière ou plus ,la broderie est réalisée sur du velours de bonne qualité, le choix de ce tissus s'est réalisé car il exprime l'élégance et le raffinement et cette matière est résistante,Ce vêtement n'a cessé de se moderniser au fil des siècles , Quand aux broderies, elles sont restées linéaires, aux motifs géométriques, avec également des représentations de végétaux. Aujourd'hui ce costume est porté par les femme dans les cérémonies de mariage ,fête ..ex par contre il se fait rare chez les hommes si ce n'est porté par les petit garçons dans les fêtes de circoncisions ou bien les hommes da

    ns les orchestre andalou afin de préserver ce patrimoine Riche et précieux.

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  • Commentaires

    3
    Samedi 15 Octobre 2022 à 15:07

    Bonjour Julia

    Ces deux portraits sont très beaux !

    Je fais, avec plaisir, un grand tour dans les blogs.
    Bises amicales

    et bon week-end winktongue

    2
    Vendredi 14 Octobre 2022 à 20:22

    BONSOIR JULIA !

    FAKE NEWS (MENSONGE) MAIS....

    Au départ, la France laisse les écoles traditionnelles d’Algérie fonctionner, celles qui existaient déjà, et crée ses propres écoles, réservées aux pieds-noirs, à quelques exceptions près.

    Kamel Kateb, qui est chercheur à l’Ined, explique qu’au départ, la colonisation va faire régresser le système éducatif traditionnel algérien. La colonisation est un tel bouleversement qu’on a autre chose à faire, en gros, que de s’occuper des écoles. Ensuite, assez vite, des écoles arabes-françaises vont être créées pour les enfants d’Algérie, mais ce ne sera jamais une réussite. 

    Beaucoup d’instituteurs critiquent une instruction au rabais dans ces écoles. Elles bénéficient de moins de moyens que les autres. Et même si certaines circulaires, après la Seconde Guerre mondiale par exemple, veulent pousser plus d’enfants d’Algérie dans les écoles, les taux de scolarisation resteront toujours assez médiocres.

    Donc leur colère concernant l’effet de la colonisation sur l’analphabétisme est-elle justifiée ? La France aurait pu en faire beaucoup plus sur l’instruction des enfants d’Algérie. Mais le pouvoir algérien donne quand même des chiffres qui sont faux, totalement exagérés.

    Et exagérer les chiffres, c’est une tactique banale du régime. Les militaires au pouvoir dénonçaient encore il y a quelques semaines les “millions de martyrs algériens de la guerre d’indépendance”. Ils répètent sans cesse le chiffre :  1 million à 1,5 million de morts pendant la guerre d’Algérie alors que tous les Historiens s’accordent sur un chiffre de 200.000 morts.

    Les autorités français  que l'Histoire condamna, n'étaient pas plus sauvage que les autres pays colonisateurs des années 1830. Mais comme disait La Fontaine : "Qui veut tuer son chien l'accuse de la rage !"

    Bérengère Bocquillon sur BFM et RMC témoignage plutôt objectif  [Pour une grande part]

    Gros Bisous JULIA !

     

    1
    Vendredi 14 Octobre 2022 à 16:06

    Bonjour Julia Merci pour toutes ses explications Bon vendredi Amitiés Bérénice

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